VdH et la Brafa, une nouvelle histoire de passion

VdH et la Brafa, une nouvelle histoire de passion

Du 26 janvier au 2 février 2020, Tour & Taxis s’est transformé en galerie d’art géante, à l’occasion de la 65e édition de la Brafa, véritable rendez-vous d’hiver des esthètes. L’assureur VdH était bien sur présent à cet événement.  

 

La Brussels Art Fair est l’une des plus anciennes et des plus prestigieuses foires d’art au monde. Cette année, l’exposition a  fêté ses 65 ans et a célèbré cet anniversaire avec la mise en vente aux enchères caritative de cinq segments originaux du Mur de Berlin. Il y en a pour tous les goûts à la Brafa, qui réunit 133 galeries belges et internationales. Tout le monde y trouve son bonheur : de l’amateur de bas-reliefs de l’Antiquité égyptienne aux fans d’art Moderne, en passant même par la bande dessinée, neuvième art confirmé.

 

Le Belge, collectionneur dans l’âme

Cette année encore, l’assureur VdH a organisé une visite guidée de la Brafa pour quelques-uns de ses courtiers partenaires. Un tour des galeries d’une heure trente, qui a passé en revue les pièces maîtresses de l’exposition, détaillées par des guides spécialisés.

Chez VdH, on note, depuis des années, un intérêt croissant pour le domaine de l’art, le Belge étant collectionneur dans l’âme. La Brafa fourmille de trésors inédits, d’œuvres exceptionnelles et surprenantes, de trésors rassemblés telle la très belle collection d’œuvres de James Ensor présentée par le galeriste Samuel Van Hoegaarden. La Brafa est également un lieu inédit où toutes les œuvres présentées sont à vendre. Les galeristes que nous avons rencontrés affichaient bien souvent un large sourire. Cette édition 2020 est, une fois de plus un très beau cru et l’Art reste une belle valeur refuge pour les amateurs qui sont de plus en plus nombreux.

La Brafa, c’est aussi l’occasion de découvrir des pièces uniques, exceptionnelles, qui resurgissent durant quelques jours avant de se cacher, bien souvent pour les trente prochaines années dans des collections privées. L’art contemporain a le vent en poupe. Certains artistes profitent d’une actualité toute chaude tel le français Bernar Venet dont l’oeuvre « l’Arc Majeur » défie la technologie et embelli depuis quelques mois l’autoroute E411.

 

Des œuvres bien assurées

En ces temps de taux d’intérêt bas, l’art est devenu pour beaucoup une valeur refuge. Mais que l’art soit passion, investissement ou les deux à la fois, il importe de se prémunir contre les dommages qui pourraient porter atteinte à ce patrimoine. L’assureur VdH propose des formules sur mesure à ses clients amateurs d’art. Les œuvres sont bien souvent assurées en valeur agréée. Cela signifie que les parties conviennent de la valeur de l’objet lors de la souscription. Si l’objet vient à disparaître, c’est cette valeur qui sera remboursée, sans aucune discussion.

De la bande dessinée aux antiquités en passant par les peintures et autres sculptures, la couverture Fine Art Insurance de VdH protège tous vos objets d’art, que vous soyez un collectionneur privé, professionnel ou même une institution culturelle.

 

Vander Haeghen, l’art d’assurer les passions

 

Pour les infos générales relatives à l’édition 2020 de la Brafa et la liste des pièces maîtresses qui ont été présentées sur place, surfez sur https://www.brafa.art/en/highlights.

VdH est « So British » cet hiver…

VdH est « So British » cet hiver…

L’assureur VdH, partenaire du musée Autoworld, soutient l’exposition « So British ». Un événement temporaire qui met le musée bruxellois de l’automobile à l’heure londonienne.

 

La maison VdH, spécialisée notamment dans l’assurance pour automobiles de prestige, est un partenaire fidèle du musée bruxellois. « Autoworld est un acteur de référence du monde automobile, reconnu internationalement et affichant une activité soutenue, à travers diverses expositions temporaires. Nous partageons la même passion pour l’automobile et le même esprit », soulignent Frédéric de Haan et Bertrand Vander Haeghen, les deux Managing Directors de VdH, qui soutient les grandes expositions temporaires organisées par le musée. La dernière se nomme « So British! – cars & lifestyle » et est consacrée à l’automobile anglaise dans toute sa splendeur et sa variété.

 

Quartiers chics   

Pour l’occasion, des quartiers londoniens ont été reconstitués sous les poutres métalliques du musée bruxellois. La scénographie nous plonge à Piccadilly Circus, mais aussi sur les avenues commerçantes chics de la capitale anglaise, ainsi que dans les petites rues dont les « box » abritent souvent des trésors mécaniques. L’expo accueille plus de 55 modèles mythiques d’après-guerre, issus de marques nobles ou populaires : d’Aston Martin à Austin, en passant par Bentley, Jaguar, MG, Rolls-Royce, Morgan, Triumph, TVR ou encore Bristol. Sans oublier quelques marques plus insolites, moins connues ou disparues, comme Gordon Keeble, Hillman, Jowett et autres.

 

Un univers chaleureux

Comme toujours, le musée Autoworld plonge le visiteur dans un univers à part. « Une ambiance chaleureuse et inspirante », sourit Frédéric de Haan. « Tout le monde y trouve son compte : du simple curieux à l’amateur éclairé, en passant par le collectionneur passionné ». Les véhicules exposés sont souvent exceptionnels, soit par leur valeur ou leur histoire. Chez VdH, on avoue un petit faible pour la récente et rutilante McLaren Senna ou, dans un autre genre, pour la toute première Land Rover et son âme aventureuse. C’est ça l’expo « So British » : un grand écart éclectique entre passé et modernité, sur fond de passion automobile. Une bouffée de chaleur et de rêve en plein hiver.